STALKER - Dissection du cadavre de la littérature

Je donne ci-dessous la liste des textes que Pierre Mari a écrits pour la Zone. Je les ai tous retirés, à l'exclusion de ceux consacrés à ses livres.
Si, selon les propres termes de Pierre Mari, aussi mystérieux qu'expéditifs, nos chemins ont dû se séparer au bout de 10 années d'une amitié qui, de mon côté du moins, fut sans faille, et cela à l'occasion anodine d'un chapeau accusé de tous les maux, rédigé pour présenter une triple (à l'origine) charge contre certaines écrinaines, il me paraissait évident que je ne pouvais conserver autant de témoignages d'un passé désormais révolu et donc potentiellement gênant aux yeux de l'intéressé lui-même.


De la littéléramature.





De l’impuissance et des nains de jardin. À propos de One Man Show de Nicolas Fargues.




Communauté de destin. Lettre ouverte à Richard Millet.





Ni souffle, ni étreinte : Limonov, d’Emmanuel Carrère.





Une passion cinquantenaire.





Orgueil critique.





Mort annoncée du livre : confusion et comédie.





L’incroyance du récit. Le Sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari.




L’enseignement des lettres au royaume de Trissotin.





Fin de partie matrimoniale.





Quand le roman prend le maquis. Sur Passé sous silence d’Alice Ferney et Tigre en papier d’Olivier Rolin.




Où sont les tenailles ? Le Royaume d'Emmanuel Carrère.





Chagrin.





Delphine de Vigan, verbiage autofictif en pays défait.





Quand la vacuité chic prend la pose christique : Le Fils de Joseph d’Eugène Green.




La mort d'un banquier et l'aristocratie littéraire.





Pour en finir avec la littérature de qualité.





Il vous manquait l'essentiel.





Critique d'ouvrages de Pierre Mari.

Sur Les grands jours.





Les Sommets du monde de Pierre Mari : lorsque le coq chante comme un cygne, par Gregory Mion.




Entretien à propos d'En pays défait.